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Jane Fraden [Carriériste]
Jane FradenNOM:Fraden PRéNOM:Jane AGE:17 ans SEXE:Féminin POUVOIR / ESPECE :Jane est humaine, et a un pouvoir assez spécial. Son œil gauche n'est pas juste d'une couleur différente, il fonctionne un peu comme le compas de Jack Sparrow ; c'est-à-dire que son œil est capable d'indiquer et détecter le plus grand désir sur le moment de Jane. Il s'illumine alors en jaune pétant, et possède une vision thermique. Cependant, ce pouvoir ne marche que sur les objets.
Ce n'est pas vraiment un pouvoir mais plutôt une aptitude acquise, Jane a améliorer au fil du temps son bras robotique, lui permettant d'exécuter des réflexes incroyable. Rattraper quelque chose au vol sans qu'elle ne voit la dite chose tomber, par exemple. C'est un peu comme si son bras était conscient de l'environnement.
Caractère :Jane est dépeinte comme diligente, énergique et aventureuse. Bien qu'avec son fort comportement et son côté téméraire, elle ne cause quasiment jamais directement de drames dans sa vie. C'est une personne chaleureuse qui se soucie profondément de ses proches, en particulier avec sa petite sœur Luci, et qui aime s'assurer que tout le monde passe un bon moment. Ayant, sans se le cacher, un corps de rêve, elle a un côté très séduisant et enjôleur, aimant beaucoup jouer de ses charmes avant-tout pour s'amuser, même si à force elle ne s'en rend même plus compte. Bien qu'assez vulgaire et sarcastique, tenant ça de son père, elle n'en reste pas moins bienveillante. Mais ce n'est pas pour autant qu'elle se laisse faire, elle n'est pas totalement bête et naïve non plus, très loin de là. Elle agit généralement comme une grande sœur aimante mais autoritaire par rapport aux autres, ce que son entourage apprécie grandement.
Cependant, Jane a un passé troublé, lui causant divers problèmes caractériel et psychologiques ; principalement avec de ses problèmes de dépression et de colère. Son trouble émotionnel s'est révélé plus tard être une sorte de trouble dissociatif. Piquant des crises intenses de stress, elle a énormément de mal à maîtriser ses émotions et peut se montrer très physique et violente. Finissant par sombrer totalement dans une névrose profonde, la seule façon de la calmer et de lui procurer immédiatement ses médicaments ou de lui faire sniffer un bon raille de coke. C'est même pas une blague, en plus.
Bien qu'ayant l'air droit dans ses bottes, confiante et cool, Jane a profondément honte de ce qu'elle est en réalité. Elle aimerait n'être que l'image qu'elle renvoie, sans tous ses problèmes qui l'empêchent de vivre sainement. Elle a une très mauvaise estime d'elle-même et en souffre secrètement.
Histoire :Remember when we used to play Bang Bang? I shot you down ; bang bang, you hit the ground ; bang bang, that awful sound... I used to shoot you down.
Les premières années de Jane et sa sœur Luci furent mouvementés, c'est le moins qu'on puisse dire. Les plans de son père étaient pour Luci un vrai méli-mélo de mots qu'elle ne comprenait pas, et pensait que les agitations diverses n'étaient que temporaires ; mais pas Jane. Malgré son très jeune âge, Jane avait compris le coup d'état que préparait John, et était persuadée que tout finirait par s'effondrer dans des proportions considérables. Ses suspicions se confirmèrent, mais certainement pas de la façon dont elle l'imaginait. Il suffit d'un soir pour que son état mental ne bascule complètement. Un seul soir, dont elle se souvient de la moindre miette, la moindre minute, la moindre seconde. Une scène qui tournait et tourne encore dans sa tête, une scène qu'elle doit revivre à chaque fois qu'elle tombe dans les bras d'Hypnos. Il est probable qu'elle s'en souvienne même mieux que son propre père, auteur de cette blessure profonde. La porte de la planque qui claque, laissant entrer sa mère dans une colère intense, entrant dans une dispute avec John. Et puis ces derniers mots.
— « M'oblige pas à te dénoncer, John. »
— « Tu scellerais ton propre sort, dans ce cas. »
— « Non, je m'enfuirais avec les filles s'il le faut ! »
— « Je ne peux pas te laisser faire ça. »
S'en suivit d'une bataille violente, entre une essayant de fuir la maison et l'autre, risquer le tout pour le tout. Pendant que sa sœur se cachait à côté d'elle et se bouchait les oreilles, Jane assista, les yeux grands ouverts, à la scène finale. Un hurlement féminin puissant déchirant ses entrailles et son âme, un hurlement criant « JOHN, NOOON ! » se faisant violemment coupé par un flash de lumière accompagné d'un coup de feu. Un cri strident venant de Jane raisonna alors, attirant l'attention de son père. Elle finit par contempler alors le corps inerte de sa mère, baignée dans une flaque rouge sombre. Mais de son vivant, elle et Jane avaient raisons sur une chose : la situation n'était pas stable.
Étant obligés de fuir un soir de pleine Lune à cause des erreurs de son père, elle dû donc supporter avec sa sœur tous les endroits insalubres et hostiles où son père les amenait. Aucun endroit n'était décemment vivable et durable, et les deux filles rentrèrent alors dans une idée commune qu'elles n'auraient jamais de foyer. Mais c'était sans compter les mauvaises relations qu'entretenait John avec leurs voisins/hébergeurs malveillants. Un jour, sans trop savoir pourquoi, Jane se réveilla dans une salle inhabituelle. Sa sœur n'était pas là, son père non plus, elle n'était qu'entourée d'inconnus dans ce qui semblait être un énorme complexe de recherches sur des inventions. Après quoi, elle fut jetée sans explications en sous-vêtements dans une cabine reliée à une énorme machine, enfermée à double-tour, et endormie artificiellement. Mais elle eut l'impression que son sommeil ne fut que de très très courte durée, se réveillant brutalement et tombant de la cabine ; c'était son père, qui l'avait sauvée. Elle ne reconnaissait même plus son propre corps, comme si elle avait pris plusieurs années en quelques secondes. Trouvant un document sur une des tables, John découvrit qu'elle fut enfermée dans une expérience tentant d'accélérer la croissance physique et mentale en seulement quelques jours. Dans le cas de cette machine, la croissance transformait une année en 24h seulement. Il était arrivé trop tard... sa fille était déjà adolescente. Complètement paniqués, ils tentèrent de fuir le complexe en se défendant comme ils le pouvaient. Il n'y eut pas trop de blessures, mise à part les balles reçues dans le bras de Jane qui paralysèrent ce dernier. Ils rentrèrent néanmoins bien vivants à la base, mais s'empressèrent de tous décamper le plus loin possible. Apprenant plus tard que l'expérience était menée (et la machine construite) par une connaissance d'une connaissance de John, Jane blâma toujours que c'était de sa faute.
Après de longues années à vagabonder et à suivre son menteur de père qui jurait qu'il avait un plan, ils finirent par enfin tomber sur un lieu secret, une immense ville cachée en pleine forêt. Mais même là, contrairement à sa sœur, elle n'y croyait pas. John avait néanmoins réussi à négocier et à payer une habitation dans cette dite-ville, mais ce n'était pas suffisant pour Jane. Son père avait beau lui avoir construit des composants mécaniques pour rendre son bras à nouveau fonctionnel à cause de l'accident, ce n'était encore pas assez. Certes, elle aimait énormément son père, et celui-ci avait le talent pour maintenir une bonne relation avec des gens qui le détestait et qu'il détestait, mais Jane ne pouvait pas, ne pouvait plus supporter ses secrets et ses mensonges.
Elle refusait pertinemment de prendre ses médicaments et, empirant sa santé mentale, elle devenait très souvent violente et se battait physiquement avec son paternel. Sa santé mentale se dégradant de plus en plus, elle commençait à adopter un comportement auto destructeur et détruisait tout ce qu'elle pouvait trouver, jusqu'à anéantir sa chambre et s'auto-mutiler. Mais un jour, lors d'une très violente dispute avec son père, elle s'enfuit de la maison en courant, et se dirigea vers le grand pont de la ville, passant au dessus du train. Se laissant tomber sur les railles au moment où celui-ci passait, elle fut cependant rattrapée par John qui la ramena sur la terre ferme. Une bonne gifle qui n'était peut-être pas nécessaire lui fit néanmoins reprendre ses esprits. Tout deux côte à côte et silencieux, encore retournés par les événements, John décida de lui montrer son secret ; Ils sautèrent tous les deux sur le toit du prochain train arrivant, et parcoururent quasiment toute la ville de nuit, baignée sous les lumières des habitations encore réveillées, des pancartes des magasins encore ouverts, et des étoiles qui ne cessaient de briller. Ce soir-là, ils avaient enfin pu se parler, au moins un peu.
Mais les événements ayant dépassés les bornes, Jane décida de partir, partir très loin. Partir faire ses études dans un autre état, loin de son père. Mais elle n'avait pas prévu l'impact psychologique que son absence ferait sur sa petite sœur, qui la considérait maintenant comme une mère de substitution à cause de son côté très protecteur envers elle. John et Luci vécurent alors seuls pendant un an en ville, et tout semblait bien se passer des deux côtés. Malheureusement... ça ne l'a pas fait, pour Jane. Finissant par ne plus aller en cours et d'être de plus en plus mauvaise dans ses études, elle finit par être renvoyée. Bien obligée de rentrer chez elle, son père lui fit un peu la gueule à propos de son renvoi ; Mais était tout de même heureux qu'elle soit rentrée. Mais comme ça ne suffisait pas, ses traumatismes et ses maux revirent le jour après quelques jours seulement. Enchaînant les insomnies et ayant un souvenir perpétuel du meurtre de sa mère, Jane finit par trouver, caché derrière un carreau du mur de la salle de bain, un remède miracle l'aidant à oublier tout ça. La cocaïne de son père. Passant d'abord presque inaperçue, son addiction finit par se faire savoir auprès de son père quand Jane fit une overdose lors d'un trop gros épisode de stress. Heureusement, elle y survécu. Mais sa promesse de ne plus jamais consommer de drogue, elle, n'a pas survécu. Elle en consomme encore régulièrement et son père ne semble pas au courant.
Parfois, Jane revient souvent seule sur le toit du train, mélancolique et nostalgique du jour où elle avait enfin pu parler à son père. De toute les personnes qu'il avait pu profondément blesser, Jane en faisait certainement partie. Mais elle ne peut s'empêcher de l'aimer du plus profond de son cœur, ne pouvant même plus vivre si ce dernier venait à mourir.
Bang bang, he shot me down ; bang bang, I hit the ground ; bang bang, that awful sound... my baby shot me down.
Armes :Elle a une clef à molette sur elle si jamais elle doit faire affaire à des gros lourds. Haha... vous avez cru, hein. Nooon, c'est pour le cas où elle en aurait besoin contre son père, bien évidemment.
Anecdotes :Origine: Américaine
Voix: Amanda Palmer⋆ Ayant vécu pas mal de temps au Mexique pour ses études où elle dormait sur place, elle a donc apprit à parler couramment espagnol. Ayant l'habitude, elle lâche parfois des expressions ou des phrases dans cette langue par réflexe. Même pour les surnoms par ailleurs, elle appelle tous ses proches “Mantequilla”.
⋆ Elle vole souvent le sweatshirt jaune de son père, car il appartenait originellement à sa mère. C'est une vraie bataille entre les deux compères pour savoir qui finira par prendre définitivement ce sweatshirt.
⋆ À cause des ses divers traumatismes, Jane prend beaucoup de médicaments pour diverses raisons. D'une part pour sa dépression, ses épisodes de crises de stress intense, et son trouble explosif intermittent la rendant assez violente. Elle en fatigue d'ailleurs beaucoup son père quand elle n'a plus de médicaments, étant obligé de veillé jusqu'à pas d'heure pour la consoler et éviter qu'elle ne se drogue encore. Quel père adorable, n'est-ce pas ?
⋆ Jane possède un garage à Heaven Lake où elle y travaille, réparant principalement les voitures des gens et en vendant assez rarement. Contrairement à son garage sur Eurybia, où elle vend des véhicules spatiaux. Son Auto-Station est l'une des plus fréquentée par ailleurs, bien qu'elle ne vende pas à tout le monde.
⋆ Elle ressemble beaucoup à son père, physiquement. Elle ne sait même pas si c'est bien ou pas. Mais étant donné que ce dernier est connu pour être anormalement séduisant, elle se dit que ce n'est pas un mal, finalement.
⋆ Cependant, quelque chose que son père ne lui a pas légué, c'est sa grande taille ; Elle mesure 1m74.
⋆ Elle a une aura très séduisante, et porte d'ailleurs très souvent des shorts très courts ou moulant, aimant bien mettre en valeur ses formes. Elle aime d'ailleurs beaucoup porter des vêtements avec le motif du drapeau américain. Républicaine, vous direz ? Éventuellement, probablement, sûrement.
⋆ Aimant bien fouiller un peu partout, elle est tombé sur les diverses guitares de son père et à apprit à en jouer, et s'est vu offerte un Ukulele pour son anniversaire également. Elle en joue parfois quand elle a le cafard.
⋆ Tout comme son père et par rituel génétique dans la famille Fraden, elle a une hétérochromie, rendant son œil droit bleu (sauf quand elle utilise son pouvoir), et son œil gauche marron.
⋆ Son père est fana des western, elle, c'est les films cultes des années 80. Vous pouvez être sûr que quand elle vient à une soirée, elle en ramènera tout un paquet. Elle a un faible pour Dirty Dancing, Footloose et Ghostbusters. Il va sans dire que l'autre majorité du genre de chanson qu'elle écoute en mettant le rock de côté, c'est la pop des 80's.
⋆ Elle a perdu une partie de Poker contre Jack Acker, son gage est alors permanent ; dès que Jack doit se séparer temporairement de son chien Dakota, c'est Jane qui doit s'en occuper.
⋆ Jane a réussi à se faire une petite fortune en vendant des cartouches de jeux rétros. Où est-ce qu'elle les a trouvées ? Elle les a tout simplement déterrées lors de son passage au New Mexico, là où Atari enfouit environ 1000 cartouches de leurs jeux. Apparemment, elle en a gardé une du jeu E.T. en souvenir. Pour elle, c'est comme avoir un petit tas de merde posé sur l'étagère.
⋆ Le pouvoir du puissant et grand Mexique enveloppe Jane. Elle semble être considérée comme un symbole patriotique du dit état, malgré qu'elle ne soit pas née là-bas. Ce pouvoir de patriote lui confère le pouvoir des Amigos fieles ; à chaque fois qu'elle lève les bras, les mexicains l'acclament tous en chœur, en finissant par la phrase « Gloria para la Mantequilla ».
Relations :John Fraden → Père / En conflit
Luci Fraden → Petite sœur
"Jack" Fraden → Oncle
Jennifer Davies → Petite-amie
Jeremy Meeks “Scooter” → Ami / Plus fidèle client
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CRÉATEUR — Donnie.
FICHE DE PERSONNAGES — Chrona, modifications de Donnie.IMAGE DE LA CHAMBRE:
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