• John Fraden [Bandit]

    John Fraden

      
    NOM:
     Fraden
       
    PRéNOM:
     John
        
    AGE:
     37 ans
       
    SEXE:
     Masculin
      
     
    I'm a galactic gunslinger, such a dangerous dude
    I'm a lone ranger, and this ain't a planet for two

    I'll get back in the saddle and leave this whole galaxy shook
    I'm all of a Buzz Aldrin crossed with Clint Eastwood
    POUVOIR / ESPECE :

    Humain ou belle ordure ? Ça se discute.

    En tout cas en termes de pouvoirs, il est certain qu'il en a un, ou plusieurs, à vrai dire. Il a des compétences physique améliorées, lui conférant de nombreux atouts avantageux. Il peut : survivre sans manger ; il ne peut pas tomber malade ; sa fatigue est ralentie et il perds beaucoup plus lentement son énergie que la normale s'il enchaîne les nuits blanches ; une défense immunitaire beaucoup plus performante ; un vieillissement ralenti ; une espérance de vie plus longue ; une capacité de réflexion plus rapide ; une force physique bien plus importante ; une endurance plus forte.

    Orientation sexuelle/AMOUREUSE :

    Il s'aime déjà, ça c'est sûr et certain.

    Cependant, une des faiblesses de John est qu'il tombe très facilement amoureux, et peut facilement se faire manipuler par les sentiments. Son amour ardent envers la gente féminine n'a fait qu'augmenter son nombre de conquêtes et également de plan Q. Il tombe très souvent sous le charme de ces demoiselles et ne peut s'empêcher d'en pincer pour elles, pouvant littéralement devenir envoûté en écoutant une voix qui le séduit. Malgré cela, aussi étonnant que cela puisse paraître, John est quelqu'un de relationnellement très fidèle. Il ne lui viendrait pas à l'idée de tromper sa femme s'il en avait une, à part voler quelques rares baisers à droite à gauche en guise d'exception.

    Pour l’anecdote, il a souvent été aperçu à Androgamia, à La Citadelle. On raconte qu'il aurait embrassé une bonne dizaine de garçons. Mais ça ne veut rien dire, n'est-ce pas ?

    Caractère :

    John est un meneur féroce, impitoyable et cruel, en plus d'un "génie" autoproclamé, même s'il peut effectivement s'en vanter. Bien qu'il soit plutôt limpide et "sympathique" –avec de gros guillemets–, il ne semble rien prendre réellement au sérieux, et son sens des priorités est assez discutable. John a peut-être dépassé les bornes dans son passé, mais il préfère l'enterrer bien profondément et a de gros plans pour son futur, étant émotionnellement mature et compétent lorsqu'il effectue des tâches. En vérité, John est défini comme un hédoniste très ambitieux sans aucune retenue ni inhibition. Il poursuivra n'importe quel objectif qu'il s'est fixé et ne laissera visiblement jamais les inquiétudes et préoccupations des autres se mettre en travers de son chemin. C'est un véritable comédien qui possède un esprit aiguisé, ayant un profond sens de l'humour noir puisant dans le malheur des autres. Il est assez grossier et vulgaire, mais au moins il ne perd pas son temps avec des faux-semblants.

    Il est très observateur, pragmatique et n'a pas peur de se défendre s'il le faut. D'ailleurs, ses prouesses physiques sont tellement déconcertantes qu'il en prierait presque qu'on l'agresse. Il se caractérise par-dessus-tout par sa confiance décontractée et son narcissisme très apparent. La plupart des gens pensent que son narcissisme à outrance n'est en fait qu'une façade pour masquer sa mésestime de lui-même, mais ce n'est pas vraiment le cas ; car John n'est pas seulement narcissique. Il est mégalomane. Il est convaincu de sa supériorité et démontre peu d'empathie envers les autres, démontrant en lui un orgueil démesuré. Mais il est cependant un peu étrange ; les mégalomanes cherchent le pouvoir et la gloire à tout prix, tandis que John ne semble porter d'importance qu'à… "l'autosuffisance" de son propre bonheur. Certaines personnes diraient que c'est un individualiste, d'autres que c'est un énorme connard, mais il est surtout en réalité un véritable psychopathe instable qu'il en effraie pas mal de monde, enfants comme adultes. Il est tellement égocentrique que quand il ment, c'est la vérité qui a tort.

    Il porte généralement l'image d'un égoïste insensible qui ne se soucie de personne d'autre que de lui-même, mais malgré cela, des affres d'empathie peuvent le submerger et il en devient alors beaucoup plus attachant et attentif envers ses proches qu'il ne voudrait l'admettre. Il semble d'ailleurs avoir de ce côté-là un véritable dédoublement de la personnalité, alternant entre un immense taré sanguinaire et un grand tendre. Il est connu pour avoir causé beaucoup de problèmes au sein de beaucoup de choses, et ne semble montrer aucun signe de remords. Bien que généralement violent et égoïste, John a un côté doux rarement vu. Plus d’une fois, il a sauvé la vie de plusieurs de ses proches. Certains d'entre eux sont d’ailleurs conscient du côté émotionnel de John et apprécient son extérieur dur et brut et son sens de l’humour sardonique, même s’il est orienté à leurs dépens. Ils savent qu’au bout du compte, on peut compter sur John pour faire ce qu’il faut.

    Mais John n'est pas quelqu'un de très fréquentable pour autant. Non seulement il a des aspirations de meurtre de masse à l'échelle mondiale, mais il a déjà abandonné ses propres associés et sous-fifres pour les laisser souffrir et mourir de maladies ou d'assassinat, et n'a fait aucun effort pour subvenir aux besoins de ses travailleurs, tout en agissant généralement comme un imbécile total. S'il se prétend être un génie, alors il est évident qu'il ment ou qu'il est fou, n'est-ce pas ? Pas exactement. Personne ne sait vraiment de quel trouble mental il souffre, la plupart préférant se contenter de cette simple explication : « Il est juste en phase terminale d'être un enfoiré. Et il n'y a pas de remède pour être un con. » Cependant, John est loin d'être stupide. Il arrive à être très persuasif et peut détruire une personne en quelques mots. Toujours en quête de pouvoir, il dissimule ses noirs desseins comme un pro. Parce que ça lui fait plaisir, d'être aussi sadique envers les autres. …Enfin, pas toujours. Son narcissisme prend souvent le dessus sur son côté stratégique, ce qui fait qu'il ne se rend même pas compte de ses erreurs.

    Néanmoins, il ne fait aucun doute que John est maléfique. Mais une partie de la raison pour laquelle il a réussi, c'est qu'il a un but derrière ses actions. Dans un monde où il faut écraser tout le monde pour réussir, êtes-vous vraiment meilleur que moi ? Peut-être qu'à la fin, vous et tous les autres finirez par me détester simplement parce que je suis plus efficace que vous ne le serez jamais.

    En vérité, John le sait. Il sait que tout, tout n'est qu'une façade. SA façade ; qui risque de disparaître à tout moment, surtout le plus fourbe et imprévisible. Mais en tant que mortel, de pions parmi tant d'autres, il faut trouver un moyen de se démarquer. C'est pour ça qu'il est aussi remarquable, aussi explosif. C'est pour ça qu'il est le pire prof possible et imaginable. C'est pour ça qu'il ait pris le contrôle d'une putain de ville. C'est pour ça qu'il a tenté un coup d'État. C'est pour ça qu'il a commis de nombreux crimes graves. Pour ça qu'il a fait des enfants. Pour ça qu'il baise à tout va. Pour laisser sa marque. Car quand sera venu le moment de quitter sa vie, il pourra, enfin, lâcher dans un dernier soupir, qu'il a réellement impacter le monde.

    DESCRIPTION PHYSIQUE :

    En plus de son charisme, John est globalement quelqu'un d'imposant. Un physique en V, des muscles plus qu'apparents et des tonnes de cicatrices, ça en séduit plus d'un. Et comment oublier son beau torse pubescent, bien-sûr. John est également quelqu'un de très bronzé, tellement qu'il est pris par certains comme un mexicain ; ce qui n'est évidemment pas le cas. Il est brun, mais possède une mèche blanche souvent remarquée, qu'il semble par ailleurs détester pour une raison personnelle. Il possède également un tatouage autour de son poignet, dont il n'a jamais voulu donner la moindre explication. D’ailleurs, en parlant de tatouage, John en possède une pelletée. En plus d’en avoir un au-dessus de l’épaule droite du groupe Sisters of Mercy, il a deux colonnes assez atypiques. En effet, depuis la création de son clone, John a des sortes de petits hexagones tout le long des côtés de son abdomen. Quand son clone est invoqué, ceux-ci se mettent à légèrement briller d'une teinte bleutée, et pouvant parfois faire apparaître d'autres hexagones sur son cou et sa nuque. Non pas pour faire joli, ces marques sont des sortes de capteurs d'association, afin que son double puisse se matérialiser avec une similarité quasiment irréprochable.

    Possédant une bonne centaine de cicatrices sur son torse, John en a d'ailleurs une assez grosse sur la jugulaire, pour une raison extrêmement simple : son clone a un jour essayer de l'égorger. N'ayant pas le "courage" d'aller jusqu'au bout, John le punit malgré tout, en l'égorgeant en boucle pendant des heures, le sourire aux lèvres. Oui, John n'a pas tendance à être très tendre avec son clone. En fait, toutes les pires choses que l'humanité a pu imaginer et que John ait pu infliger, c'était sur son double. Enfin, peu importe. Ce n’est pas les seules cicatrices importantes qu’il détient, loin de là. John a en effet une grosse cicatrice ronde à l'épaule droite, comme si on lui avait tiré dessus à plusieurs reprises. Et c'est en effet le cas ; résidu du petit jeu sadique de son paternel. En parlant de lui d’ailleurs, d’énormes traces larges et longues sont présentes dans son dos, dû aux très nombreux coups de ceintures très violents que John subissait de sa part.

    De plus, John semble avoir une hétérochromie. Des personnes lui ont posé la question si ce n'était pas rajouté pour se donner un air plus atypique, mais John est formel : c'est génétique. Cependant, son œil gauche, de couleur vert émeraude, semble moins authentique que son œil droit. Il bouge en même temps que l'autre, certes, mais il semble factice, comme un œil de verre. Il semble directement façonné dans son masque, contrairement à l'autre. Il aurait apparemment laissé entendre que sans ce masque, il serait aveugle de cet œil-là. Par ailleurs, il lui arrive parfois (bien que très très rarement) que ses yeux virent au rouge ardent et menaçant. Cela semble arriver lorsqu'il exprime des affres de violence extrême. John n'a jamais donné d'explications, et semble ne pas vraiment en tenir rigueur. Certains pensent que c'est un supplément ajouté de son masque, déjà assez magique pour qu'il reproduise à la perfection ses expressions faciales. Mais ce que les gens ignorent, c'est que c'est parfaitement authentique.

    Il a les oreilles percées de partout et est souvent vu avec des piercings.  Mais ce que les gens savent moins, c'est qu'il est également percé à l'arcade, et aux… …tétons. Pour l’arcade, il ne semble pas les porter tout le temps, et varie chaque jour leur présence. John a un sourire vraiment très marqué, tellement qu'il en paraît omniprésent. En plus de renforcer son côté flippant et sadique, cela brouille beaucoup les pistes concernant sa véritable humeur. Mais ce qui s’aperçoit également, c’est ses canines relativement pointues. Vous savez pourquoi il adore ça ? Parce que c’est encore plus excitant, quand il mord. Les gens le qualifie d'ailleurs beaucoup comme un homme "anormalement séduisant" ; même aussi gros enculé qu'il est, il arrive à séduire involontairement beaucoup de monde. Il est tellement beau que même les garçons en pincent pour lui. Si on devait lister le nombre de ses conquêtes, on ne serait pas sorti d'affaire. Tant qu'à être beau, autant jouer de ses charmes, n'est-ce pas ?

    Histoire :

    On raconte que l’enfance d’une personne peut déterminer le reste de sa vie. C’est très probablement le cas avec John.

    Né d'une mère sicilienne et d'un père texan aux vieilles origines irlandaises, il est littéralement le fils d’un rapport douloureux et non consenti, sa mère étant forcée de le garder en raison de l’interdiction de l’IVG et de la pression de son amant. Mais une fois né, elle ne put le supporter. Son premier fils était fou, détraqué, ingérable, il ne fallait pas que ça recommence. Agrippant alors un scalpel, elle tenta d’abréger ses souffrances à venir. Le seul médecin présent dans la salle arracha l’enfant des bras de sa mère afin de le sauver, mais celle-ci se servit alors du scalpel pour s’ouvrir la gorge. Suite à quoi il fut brutalisé et globalement prit pour cible par son géniteur, celui-ci croyant que sa femme était morte en couche et que donc bien évidemment, son fils était le seul et unique fautif. S’en suivit de très longues années de torture physique, frappant, noyant et fouettant son fils dès qu’il le voyait. C’était son devoir de lui faire regretter d’avoir tué sa bien-aimée. Rué de coups ou tiré dessus, sa santé mentale se dégradait comme celle de son frère, celui-ci laissé totalement en roue libre. Presque assassiné par son père ; traumatisé à vie en une seule nuit ; marginalisé et isolé en primaire ; tenu responsable des crimes que son grand frère commettait et l’ayant vu un matin se faire embarquer par un camion blanc, c’en était trop pour John. Il en venait même à détester son propre prénom, étant exactement celui de son frère. Son "père" ne s'était même pas pris la peine de lui donner une autre identité.

    Seul et perdant la tête, John s’était décidé à partir. Prenant un jour son père à son propre jeu sadique, il réussit à s’en débarrasser en lui logeant une balle dans le crâne. Suite à ça, il prit la fuite, seul, jusqu’à Fort Worth et Dallas. Peu discipliné et préférant traîner dans les rues de son quartier que sur les bancs de l'école (que de toute façon il ne pouvait plus accéder), c'est très tôt qu'il commence par faire de petits boulots pour la pègre locale. Alors âgé de douze ans, il deviendra le petit protégé d'un certain Brando, un capo qui lui apprit l’autonomie. Il fut d’ailleurs ravi d’apprendre que la mère de ce garçon venait de la même région de Sicile que lui. John logeait alors chez Brando, qui lui payait ses études en échange de services ; jusqu’à ce qu’il finisse par travailler sous ses ordres. John effectuait des petites missions pour ce dernier, agissant un peu en tant qu'homme à tout faire. Les années passèrent, et c'est Brando qui le lança dans la vie criminelle, indiquant à tous ses associés que celui-ci était son neveu.

    Cependant, la chance n’allait pas lui sourire. C’est même à partir de ce moment que sa vie allait complètement changer. Alors seulement âgé de 19 ans, John se découvrit… une certaine habilité. Déjà qu’il trouvait étrange le fait qu’il était capable de survivre des mois sans manger une seule miette, quelle ne fut sa surprise quand il découvrit qu’il était non seulement capable de tuer des gens par la pensée. Littéralement. Il lui suffisait de les fixer intensément dans les yeux pour que… on vous passe les détails gores et sordides, sa cible meurt dans d’atroces souffrances. Amusé d’un massacre aussi nauséabond et facile à réaliser, on se doute bien qu’il continua pendant de nombreux mois. Mais une capacité pareille, ça a un prix. Personne n’osait entrer dans sa petite demeure, quand les passants y entendirent des hurlements de douleur abominables s’en échapper. Pendant trois jours, il agonisait sur le sol en criant, son visage se détruisant lentement. Quand la douleur s’atténua, il usa de ses dernières forces pour atteindre le miroir en face de lui. Le visage complètement ensanglanté et méconnaissable, il finit par s’évanouir dû à d’inqualifiables maux de crâne. Se réveillant difficilement le lendemain, il put constater plus exactement l’ampleur des dégâts ; de graves traces de brûlures, des veines noirâtres apparentes et distordant sa peau, une très large plaie complètement ouverte et encore saignante… mais surtout son œil gauche en moins. Il n’osait même pas ouvrir ses paupières pour le constater. Il se trouvait absolument monstrueux.

    Il lui était absolument inconcevable de passer outre, de montrer ce visage exécrable. De GARDER ce visage exécrable. John avait passé des semaines à fouiller dans les recoins les plus sombres de Dallas, commençant des recherches sur les mythes et les forces surnaturelles. Au début, il avait douté de sa propre intelligence pour s'intéresser à ce genre de choses, mais tout avait changé lorsqu'il mis la main sur des documents secrets et hautement classifiés qui avaient balayé tous ses doutes. C'est alors qu'il fit la rencontre deux frères mystérieux, des personnages mystiques, avec des comportements et des apparences des plus énigmatiques. Ils prétendaient pouvoir lui rendre son visage, et ce entièrement. Mais ce n’est pas vraiment ce qu’il attendait. Après avoir pris les mesures exactes de son visage, ils ont créé un masque à l'effigie de John, un masque capable de refléter ses expressions faciales et qui pouvait se régénérer s'il était endommagé. Cependant, John ne pouvait tolérer que quelqu'un ait vu son vrai visage sous son vrai jour. Alors, après les avoir torturés et interrogés pour obtenir toutes les informations possibles sur leurs capacités extraordinaires et leurs origines, il les avait tués, sans aucun remords. Il ne pouvait pas laisser de témoin.

    Il ne restait plus que quelques années à Brando avant que la mort ne vienne le chercher, laissant alors John devenir Caporegime. C'était un coup dur pour lui qui venait de perdre son mentor et son ami. Cependant, la vie continuait. Au fil des ans, John devint un homme très important, influent dans la ville, oscillant entre son boulot de régisseur de cinéma et sa position de mafieux puissant, faisant des allers-retours fréquents entre Hollywood et Dallas. Il avait réussi à prendre la tête d'une entreprise d'armement en éliminant son précédent dirigeant, ce qui le plaçait en position de force. Mais malgré tout cela, il n'était pas satisfait et avait encore plus d'ambitions. Marié à une femme de la mafia qu'il avait rencontrée en prison et père de deux enfants, John voulait faire un coup d'état. Renverser le pouvoir en place et prendre le contrôle. Bien sûr, il avait des alliés, mais cela demandait beaucoup de temps et de travail. Il avait même commencé à négliger sa propre famille, des nuits blanches enfermé dans son bureau à comploter et à assister à des réunions importantes loin de chez lui, abandonnant même ses responsabilités envers ses membres de la mafia. Il avait sacrifié tant de choses pour atteindre ses objectifs, mais une erreur fatale vint tout bouleverser. Tout en étant si près du but, lui et ses complices ont été repérés par les autorités, et il ne s’agissait plus qu'une question de temps avant que la police ne les arrête. Avec tous les crimes qu'il avait commis au cours de sa vie, il savait que la peine de mort était inévitable.

    Alors qu'il se préparait à fuir pour échapper à la police, Elizabeth, sa femme, s'opposa à son départ. Elle savait que lui seul était recherché, et qu’il mettait sa famille en danger. Bien qu'elle savait également que John réussirait à s'échapper, elle ne permettrait pas qu'il mette la vie de ses enfants en jeu. Au cours d'une dispute intense, John céda à une impulsion incontrôlable et irréfléchie. Il ne pouvait pas accepter de perdre ses jeunes filles. Elles étaient SES enfants, et seulement les siens. Il sortit son revolver et tira sur sa femme, la touchant au ventre. Alors qu'elle gisait sur le sol, il lui logea une balle dans la tête sous les yeux horrifiés de leurs filles. Bien que déchiré par ce qu'il avait fait, il n'avait pas le temps de se lamenter. Il prit alors ses enfants et s'enfuit loin de chez lui, cherchant refuge dans des endroits insalubres, où il se sentait constamment en danger, ce qui commença à avoir un impact sur sa santé mentale.

    Il errait, John, depuis des jours, des semaines, des mois peut-être, traqué par les autorités et les criminels qu'il avait trahis. Un homme brisé, prêt à tout pour protéger ses deux filles qu'il avait récupérées de justesse après avoir commis l'irréparable. Il avait fini par trouver refuge chez une ancienne connaissance, un certain Buck, un chef de bande peu recommandable qui ne lui offrait qu'une trêve fragile. Car si Buck lui permettait de se cacher, il n'hésitait pas à le descendre dès que l'occasion se présentait. Un jour, Buck et ses hommes avouèrent avoir vendu sa fille Jane, en son absence. Le sang de John ne fit qu'un tour, et il partit aussitôt à sa recherche. Mais ce qu'il découvrit le glaça d'horreur : sa fille avait été kidnappée par une agence étrange qui semblait mener des expériences sur les enfants, leur procurant une croissance accélérée physique et mentale. Il avait déjà entendu parler de cette agence, sa femme y avait travaillé par le passé sans en connaître les horreurs, mais elle avait été à l'origine de l'enlèvement de son premier enfant, qu’elle croyait mort. Malgré l'étonnement de voir Jane avoir désormais 11 ou 12 ans, elle était vivante, et c'était tout ce qui lui importait. Il s'enfuit alors avec elle et revint à la base de Buck, armé jusqu'aux dents. Buck et ses acolytes avaient commis l'erreur de trop, et John les tua tous sans pitié. Il ne lui restait plus qu'à fuir à travers l'Oregon, toujours avec ses deux filles sous sa protection.

    En fuite et poursuivis par la police à travers la dense forêt de l'État, ils avaient parcouru des kilomètres, évitant les ronces, les branches et les rampes dangereuses, mais la fatigue et les blessures ralentissaient leur progression. Épuisés, ils commençaient tous à perdre espoir. John, qui n'avait jamais connu la défaite, était terrifié à l'idée d'être séparé de ses filles. Alors qu'ils s'échappaient, ils tombèrent tous les trois dans une fosse profonde remplie de ronces. Sonné et épuisé, John était incapable de se lever. Jane, également blessée, essaya de le porter autant qu'elle le pouvait, mais ils ne purent parcourir que de très courtes distances en titubant. Ils étaient tous les deux à bout de forces, convaincus qu'ils allaient mourir tous les trois dans cette forêt inhospitalière. Puis, comme un miracle, la chance leur sourit. Alors qu’ils marchaient, ils tombèrent sur une ville étrange, remplie de gens aux looks improbables et certains ne semblant même pas humains. Et ce qu'ils virent autour d'eux les laissa bouche bée : des gens pratiquaient de la magie. De la vraie magie. John ne pouvait pas s'empêcher de faire le lien entre cette ville et les deux frères qui lui avaient confectionné son masque. Il était épuisé, mais son esprit était en alerte, il savait qu'il était sur le point de découvrir quelque chose de grand. Cependant, leur répit fut de courte durée. Les autorités les arrêtèrent et les emmenèrent à la mairie pour subir un interrogatoire. Ils étaient des étrangers dans cette ville étrange et mystérieuse, et les fonctionnaires n'étaient pas favorables à laisser vagabonder un homme aussi douteux en ville, mais ils pouvaient garder les enfants. Mais si John s’était tant battu, ce n’était pas pour qu’on lui retire ses enfants une énième fois. En colère et menaçant, John ne semblait pas vouloir se laisser faire. Mais une femme imposante, Mei Juéwàng, arriva à ce moment-là et proposa de négocier avec les fonctionnaires. Après avoir parlé avec John, elle réussit à les convaincre de le laisser en ville à la condition qu'il trouve un emploi dans les trois mois. John accepta, un peu à contre-cœur, mais il savait qu'il n'avait pas d'autre choix.

    Après avoir logé chez un des plus anciens employés de Mei (qui devint en passant son meilleur ami), il finit par avoir son propre logement, un travail fixe et une situation stable. C’était il y a 5 ans. Mais même après avoir enfin un toit pour sa famille, sa vie était loin d'être facile. Avec deux enfants mentalement perturbés et un père veuf en dépression, les conflits étaient inévitables. Cependant, John est un homme ambitieux. Extrêmement ambitieux ;  ainsi que déterminé à réussir, peu importe les obstacles. Il gravit rapidement les échelons de la société, devenant l'un des individus les plus influents de la ville. Il était craint et détesté, aspect absolument jouissif à son égard. John s'est également forgé une réputation et une place redoutable à Hermès, malgré la difficulté de cet environnement inhospitalier. Aujourd'hui, John est un homme puissant, dangereux et entouré, avec plus d'un tour dans son sac pour échapper à la mort. Bien que son passé d'inconnu désespéré cherchant un abri soit maintenant de l'histoire ancienne, son chemin vers la réussite n'a pas été sans conséquences, et les sacrifices qu'il a dû faire ont été nombreux. Mais pour John, tout cela en valait la peine, car il a finalement obtenu ce qu'il voulait - la réussite et le pouvoir.

    PATHOLOGIES MENTALES :

    Le pauvre John a de très nombreux troubles psychiques, qui sont en plus très majoritairement causés par le mauvais traitement qu'il a subi durant son enfance. Bien-sûr, il souffre d'un assez sévère stress post-traumatique, lui provoquant diverses hallucinations auditives à cause de son système limbique fortement affecté. Souffrant également d'une psychopathie très exigeante, d'un très sévère trouble de la personnalité narcissique ainsi qu'une dépression (courante chez ceux possédant un NPD), il paraît évident qu'il est surmédicamenté… ou plutôt DEVRAIT être surmédicamenté. Il n'est pas vraiment apprécié des services médicaux, et se procurer des médicaments que ce soit pour lui ou sa fille lui pose un véritable défi, étant souvent carrément obligé d'en voler, n'ayant aucun autre moyen. Il ne se soucie pas tant que ça de sa santé mentale, mais celle de sa fille lui importe beaucoup plus. Sa grande consommation de stupéfiants n'est donc pas anodine, étant donné ses nombreux troubles et sa difficulté à se traiter.

    En plus d’être toxico, John est à la limite de l’alcoolisme. Disons qu’il n’est juste, pour le moment, pas assez désespéré pour tomber totalement dedans. Mais noyer son chagrin dans l’alcool, ce n’est certainement pas inconnu pour lui.

    Armes :

    John a deux revolver dans les poches de sa ceinture, et adore par-dessus-tout jouer à Lucky Luke avec. Un revolver en or qu'il a appelé Jacky, et un en argent qu'il a appelé Michelle (ouais, il était au courant). Par ailleurs, il a implanté une sorte de mini I.A. dans ses revolver, une I.A. avec sa propre voix et qui le complimente à chaque fois qu'il l'a dans le mille.

    Parfois, il implante des balles aux effets élémentaires dans ses revolver, rendant les balles moins mortelles mais pouvant : empoisonner, acidifier et enflammer.

    JackyMichelle 

    John possède également un revolver beaucoup plus gros et quasiment entièrement composé de métal, qu'il n'utilise qu'en cas d'extrême urgence compte tenue de sa puissance. Ce revolver, baptisé "la Folie de John", est capable de tirer des projectiles explosifs-laser qui infligent de gros dégâts de zone. De plus, s'il appuie longtemps sur la gâchette, l'arme peut produire deux effets différents : invoquer une petite boule de feu qui vaporise les cibles à proximité ; créer une mini tornade qui projette en l'air chaque personne se trouvant dans la zone.

    Anecdotes :

    Origine: Américain, irlandais et sicilien par ses parents
    Voix: Robin Atkin Downes (VO), Christophe Lemoine (VF)
    Habitation(s): Base de la Brigade / La Citadelle — Quartier Général

    × Ne lui demandez pas pourquoi il porte un masque. Ne TOUCHEZ PAS son masque.

    × John vise comme un dieu. Ses yeux sont de véritables lunettes de sniper. Un jour, il a même participé à un concours de tir pour gagner une moto chic des années 70 avec des pompons de hippie et des têtes de morts de punk. Mais il a été si bon que tout le monde crut qu'il avait triché. Alors pour se venger, il a foutu des explosifs extrêmement sensibles dans la moto pour que le prochain qui la touche soit cuit. Personne n'était digne d'avoir cette moto à part lui.

    × En parlant de compétence de visée, John est inscrit depuis plusieurs années à un club de tir, et est célèbre pour sa précision de maître. Il s'est carrément créé un pouvoir à lui tout seul rien qu'en s'exerçant jour et nuit. Les réflexes qu'il peut atteindre avec ses deux revolvers sont assez incroyables, et il est connu pour savoir dégainer ses armes aussi vite que l'éclair. Il lui est d'ailleurs déjà arrivé plusieurs fois de ne pas louper sa cible même si elle se déplaçait grâce à un pouvoir. De plus, il a entreposé un système complexe dans les poches de sa ceinture, ce qui fait qu'il est le seul à savoir comment retirer ses flingues. Quelque chose de plus inquiétant cependant, John AIME PROFONDÉMENT les armes. Ses réflexes sont prodigieux, et ses connaissances grandes. Pas seulement en matière d'armes, mais en méthodes d'exécutions. Il est le genre de personne à vous expliquer comment on s'y prend pour égorger quelqu'un ; une sorte de vétéran du Vietnam improvisé. Ce genre de connaissances n'est pas nécessairement flippant à connaître, mais quand il s’agit de John, il y a de quoi s’inquiéter. C'est le genre de gars à savoir exactement où tirer, où frapper, où poignarder pour que ce soit fatal.

    × John est un prof passionnément terrifiant. Il a une façon vraiment unique et démente d'expliquer les choses. Il se connecte avec certains élèves, mais flanque la trouille à la majorité de part son côté imposant et sa façon très crue d'enseigner l’histoire. Il n'hésite pas à insister sur les détails croustillants et horribles que l'humanité a pu faire. Les élèves comparent ses cours à un savant fou expliquant avec une extrême précision ses expériences. Ironiquement, il discute beaucoup avec ses élèves en dehors de l'école.

    × John voue un amour très profond et sincère envers ses enfants. Il est assez possessif à leur égard, et serait prêt à sacrifier beaucoup de choses pour les sauver d'un quelconque danger, voire même sa propre vie. Mais on ne peut pas réellement dire qu'ils sont tous soudés les uns les autres. Depuis son acte impardonnable sur sa femme, les tensions et les disputes ne font que s'intensifier ; en particulier avec Jane. Pleine de rancœur et de haine envers l’homme qui a assassiné sa mère sous ses yeux, elle explose parfois dans une rage folle envers lui, jusqu'à devenir violente et parfois essayer de le tuer. Tout cela mène Luci a un profond sentiment de perdition, ne sachant pas de quel côté se ranger, celle-ci ayant toujours été très proche de son père mais également très complice avec sa sœur. N'arrivant pas à se parler, Jane préfère donc parfois dormir chez son oncle, malgré les dangers multiples. Quant à John, en plus de devoir gérer Jane qui est instable mentalement ainsi que très dépressive et suicidaire, il doit également s'occuper de sa jeune fille de 8 ans, Luci, souffrant de sévères pulsions destructrices. Cependant, contrairement à beaucoup de personnes de son genre, si John devait choisir entre son propre profit et la sécurité ou la vie de ses enfants, il n'hésiterait pas une seule seconde. Ils sont littéralement ses êtres les plus chers. Si elles venaient à disparaître, sa vie n'aurait alors plus aucun sens.

    × Ce n'est pas facile à voir au premier abord, mais John porte à son cou une petite chaîne en métal auquel un anneau en or y est accroché, conçu pour des doigts fins. Il cache cet anneau sans arrêt sous son haut, et ne le retire jamais. Très peu de gens s'en aperçoivent, et John ne semble vraiment pas vouloir en parler. Il porte également le même anneau à l'annulaire de sa main gauche, qui est déjà plus adapté à son doigt. Et comme son collier, il ne le retire jamais. Ce sont en réalité des alliances, la sienne et celle de sa femme qu'il récupéra sur son corps.

    × John a de très nombreux vices ; Il consomme en grande majorité des psychotropes hallucinogènes, de la cocaïne, un peu d'héroïne de temps en temps et a eu de nombreuses relations "romantiques" et sexuelles avec des femmes qu'il trouve tout simplement sublimes. Il boit aussi beaucoup ; techniquement, cependant, ce n’est pas un vice, car l’alcool « améliore la capacité de ses neurones ». John est également un peu cleptomane sur les bords, on peut souvent le voir piller et voler à ses amis et collègues, et ses victimes de vol préférés sont visiblement les gens riches. Enfin, généralement, il préfère s'attarder sur le deuxième point. John est un Dieu du sexe. Il s'adapte à toute préférence de sa ou son partenaire, et peu importe comment, il les enverra toujours au septième ciel. Mais il y a plus. Bien qu'il admet pouvoir se passer de luxure sans mal, il prétend en avoir besoin pour « combler une douleur ». Toujours pour cette même raison, les nombreuses cicatrices plutôt violentes qu’il possède sur son corps, également aux endroits les plus douloureux possible, proviennent beaucoup de blessures qu'il s'est auto-infligées. Sans vouloir l'admettre, il est en recherche de la sensation la plus forte possible pour mettre un terme à un mauvais souvenir en particulier. Combler la douleur par le plaisir, ou une douleur encore plus atroce.

    × Parmi tous les sévices que lui infligeait son père, il y en avait un en particulier qui lui donne encore des cauchemars. La pire chose que l'on puisse faire subir à un enfant. Une chose qui le poursuit jusqu'à la fin de sa vie, s'il ne se fout pas en l'air avant à cause du traumatisme profond que cette immondice provoque. Une chose tellement destructrice qu'elle l'a mené à un stress intense, stress qui lui a fit perdre la pigmentation d'une mèche de ses cheveux. Une chose qui le faisait s'endormir en tremblant, redoutant le pire chaque nuit.

    × On ne dirais pas comme ça, mais John a d'assez nombreuses craintes et phobies, malgré son attitude de boss absolu. Pour commencer, il a le vertige. Oh non, ce n'est pas juste un petit sentiment naturel lorsque l'on se trouve en hauteur, il a UNE PEUR BLEUE du vide. Dès qu'il se trouve en hauteur, il se sent extrêmement mal à l'aise et est incapable de s'approcher des extrémités, même s'il est protégé par de quelconques barrières. À chaque fois qu'il se voit contraint de faire des sauts gigantesques ou des sauts de l'ange à Eurybia, il a la trouille. Autre choses moins drôles, depuis les sévices de noyades que lui faisait endurer son père, John a développé une thalassophobie relativement importante, l'empêchant carrément d'aller se baigner et de prendre des bains, parce qu'il a peur de se noyer à nouveau. Les douches et les chutes d'eau ne le terrifient pas, ce sont les espaces remplis d'eau qui le mettent mal à l'aise.

    × John a déjà couché avec certaines de ses élèves qui voulaient que leurs notes augmentent. Et ce, sans que personne ne soit au courant. Il ne s'agit que de bruits de couloirs, mais éparpillés parmi les centaines qui existent déjà, ils ne sont pas vraiment pris au sérieux ni écoutés par les fonctionnaires de l'académie. Enfin bien-sûr, il n'ira jamais coucher avec une mineure. …Sauf qu'il ne considère pas l'âge de la majorité américaine, mais celle française. Ça l'arrange, et ça lui donne bonne conscience.

    × Blanc / Bleu clair / Violet / Fushia ; côté gauche.

    × Son côté très énergique ont laissé penser à pas mal de monde que la cocaïne était derrière tout ça. Mais le vrai secret, c'est qu'il est accro au café. Mais pas le petit café du matin, le café pur et noir comme les ténèbres. C'est d'ailleurs le seul défaut qu'il se trouve.

    × John peut parfois se montrer extrêmement bavard, au point où il lui arrive souvent de finir ses discussions par des phrases qui n'ont absolument rien avoir et/ou qui n'ont aucun sens. Ce qui peut sembler assez surprenant, pour quelqu’un aux apparences calmes.

    × Il est parfois convoqué chez le proviseur. Mais il s'en sort toujours, grâce à ses charmes naturels.

    × Quand il était plus jeune, au lycée plus précisément, il y avait deux gang d'élèves qui se faisaient la gué-guerre. Si l'on pouvait résumer ces deux gangs, l'un était plus rebelle que l'autre, qui était quant à lui plus superficiel. John a infiltré les deux groupes en même temps, en le faisant savoir mais en prétendant à chaque fois être une taupe. Ça a fini en véritable carnage de rumeurs, de harcèlement scolaire et de bizutage qui a fini par auto-détruire les deux groupes. John regardait tous ses méfaits avec un regard satisfait.

    × John est un grand adorateur de musique, particulièrement des années 60/70. Pendant toute son adolescence, il s'est entraîné à jouer de la guitare électrique, et est aujourd'hui plutôt bon, honnêtement. Avec grande surprise, il participe de temps en temps aux concerts du lycée en jouant de la guitare ou en tant que chanteur, parfois les deux. C'est ce qui lui donne d'ailleurs l'occasion de parler avec les élèves qui adorent la musique qu'il joue. Il joue principalement du garage rock, mais il lui arrive également de jouer du banjo ; grand adorateur de western qu'il est. Il aime énormément les Rolling Stones, les Pink FloydAC/DC et The Sisters of Mercy, par ailleurs.

    × Mais autant que la musique, John aime le cinéma. Mais bien-sûr, il a des genres préférés. En effet, il adore les westerns. Mmh pardon, il ADORE les western. Il prétend même que ça l'excite. Il s'identifie toujours aux héros dans ces films, et il est évident que son plus grand héro en la matière est Clint Eastwood. Il aime également beaucoup John Wayne, évidemment, mais il préfère le côté "je m'en foutiste" d'Eastwood. Il est très fan des Tarantino aussi, par ailleurs.

    × Dans sa cruauté, John se donne beaucoup de mal pour se venger des personnes lui ayant causé des problèmes mineurs. Par exemple, il a un jour forcé un enfant à scier sa propre jambe et à l'envoyer à l'hôpital simplement parce que le gamin l'a traité de joufflu. Ou encore lorsqu'il a envoyer un faux rapport de police à la femme d'un psychiatre, qui s'est alors suicidée ; On peut supposer que John savait qu'elle le ferait, car il est un maître de la manipulation.

    × John a un vrai problème avec les explosions et les incendies. Il en a une véritable obsession. Il vous dira sûrement que le plus beau spectacle qu'il eut l'occasion de voir dans sa vie était les diverses incendies de bâtiments et d'immeubles s'effondrant à la suite d'explosions gigantesques. Son fantasme serait d'ailleurs de se faire exploser plusieurs parties du corps, et la seule raison qui le retient est évidente ; il a besoin de tous ses membres.

    × C'est peut-être triste à dire, mais John a réussi à se faire une place assez importante à Eurybia. Cherchant toujours de nouveaux terrains à conquérir, son but du moment est de gouverner totalement cette planète. Trop ambitieux, vous dites ? Ne sous-estimez pas sa volonté, ni son goût prononcé pour le danger. Il est le leader d'une troupe appelée "La Brigade", dont la base se situe près des champs volcaniques. Ils sont peut-être considérés comme des bandits à son grand désavantage, mais une chose est sûre : ils sont craints. Et puis, de toute manière, il a déjà réussi à conquérir une putain de ville. D’ailleurs, Depuis son arrivée sur Eurybia, John possède un clone de lui-même qui l'aide à combattre lors des assauts sur la planète. Bien que l'invoquant principalement et majoritairement là-bas, il lui arrive de l'invoquer à Heaven Lake pour diverses occasions, ou juste parce qu'il a envie de le voir. Oui, ça lui arrive d'être tendre avec lui. Mais très rarement.

    × Sa couleur préférée est le jaune. D'ailleurs, beaucoup de gens l'appellent parfois "Jaune" à la place de John, pour déconner. Ça le faisait pisser de rire à une époque.

    × Bien que totalement américain, John a un fort accent british, tellement que les gens pensent qu'il est anglais. Il a d'ailleurs une voix très claire, qui même elle est assez charmante en plus d'être charismatique et autoritaire. Mais donc, pourquoi l'accent ? Dans le gang dans lequel il était, il y avait un anglais. Il adorait tellement sa façon de parler qu'il l'a imité, jusqu'à ce que ça devienne naturel. Inutile de préciser que son accent s'est accentué lorsqu'il a visité Londres.

    × Bien que parlant principalement anglais, John semble bilingue de beaucoup de langues. Des gens l'ont déjà entendu parler couramment espagnol et français, et certains même l'ont entendu parler allemand, italien ou japonais. … Comment ça, cet ordre fait tristement sens ?

    × Sa relation avec Scooter peut paraître un peu malsaine, par moment. Disons que John le considère comme son fils de substitution, mais couche régulièrement avec sa mère sans que Scooter ne soit au courant de quoi que ce soit, et celui-ci est d'ailleurs éperdument amoureux de la fille aînée de John. Dans tous les cas, c'est quand même vachement bizarre.

    × Il est né dans la bourgade de Gordon, au Texas. Est-ce qu’il s’est fait des amis ? Oui, seulement un. Mais lorsqu’il a quitté sa maison pour Fort Worth, il ne l'a plus jamais revu. Enfin, c’était jusqu’à ce qu’il le retrouve à Heaven Lake. Qui l’eut cru. Le monde est petit, n’est-ce pas ?

    × Parfois, quand il bossait encore en tant que régisseur, il se fait appeler “Jack Slater”. Là, seuls ceux qui ont la ref vont comprendre. À force de traîner dans ce milieu, il se récolta une pelleté d'anecdotes plus croustillantes et sombres les unes que les autres. Par ailleurs, il s'amusait souvent à détruire de manière extrêmement discrète le matos et les plateaux des tournages de films qu'il n'appréciait pas, sans jamais se faire prendre. La légende raconte qu'il a foutu le feu sur le plateau de Robocop 3.

    × "James" est le surnom que lui attribuait son paternel pour le différencier de son frère, s'appelant tous deux John. C'était également son deuxième prénom, avec "Dameon". Mais, en sa présence, personne n'ose même prononcer ce nom. John déteste VISCÉRALEMENT ceux qui l’appellent James. Les gens savent à quel point ça le rend furieux. Vous pouvez l’appelez Dameon, cependant. Il trouvera juste ça… perturbant.

    × Lorsqu’il est suffisamment fasciné par quelque chose, il peut sortir une caméra, prendre une photo, affirmant que l’événement est "propre". Il peut faire la même avec un carnet, plutôt pour noter des anecdotes, des répliques ou des idées. Et en parlant de répliques…

    × John ne se rend même pas compte des conneries qu'il dit et/ou de tout ce qu'il peut balancer. Un best-off de ses meilleures répliques ? C'est parti.

    « J'ai réussi… JE - SUIS - DIEEEEEEEUUUUUU !!! »
     – Quand il a réussi à prendre le pouvoir à La Citadelle.

    « J'aimerais bien tuer un indien. »
     – Démonstration de ses phrases hasardeuses sorties sans aucun contexte.

    « Je sème du plomb, tête de con ! »
     – Quand on l'interrompt en séance de tir.

    « Imagine être nu dans une pièce où personne ne parle ta langue et où tout le monde veut te toucher. C'est la vie des chiens. »
     – Énième exemple des phrases impulsives sorties comme par automatisme.

    « Je veux m'épouser. »
     – Dès qu'il est fier de lui.

    « Si vous persistez à me gêner, je vous trancherais les couilles, et vous les ferez avaler. »
     – Faites pas les cons.

    Relations :

          ___________________________
     
    CRÉATEUR — Donnie.

    FICHE DE PERSONNAGES — Chrona, modifications de Donnie.

    IMAGES:
    Normal à gauche, Eurybia à droite

     

     


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