• Mr. DeWitt

    « Quelques soient vos intentions, évitez-le comme la peste. Ce n'est même plus un homme ; C'est la perversion de cette foutue ville. »

    Un des principal fondateur mais surtout dirigeant de Rapture, Mr. DeWitt. Plus généralement appelé par son statut "Meriff" (combinaison des mots « Maire » et « Shérif »), il est surtout connu par le surnom que lui donne les gens qui n'habitent pas dans sa ville : l'Homme de l'Ombre. Rapture étant souvent le symbole d'une ville chaleureuse, paisible et angélique, DeWitt en est le parfait contraste, et la preuve vivante que cette cité volante n'est ni accueillante, ni bienveillante, et encore moins sainte. C'est un homme terriblement cruel et sombre, et étonnement mystérieux. On ne connais strictement rien de son passé, et sa ville semble être la seule chose qui le définit en tant qu'homme. C'est à tel point que même sa propre voix est un mystère, la falsifiant lorsqu'il s'adresse à sa population.

    L'idéologie profondément raciste et l'aspect très patriote de Rapture ne vient ni plus ni moins de lui, et la propagande qu'il étend aux alentours ne fait qu'aliéner sa population. Il semble en plus totalement inaccessible, cloîtré dans sa mairie beaucoup plus grande qu'il n'y paraît et possédant des pouvoirs déconcertants, dû à sa surconsommation d'atouts. Il se fait tellement discret que beaucoup d'habitants de Rapture ne sont parfois même pas au courant de son existence, et à vrai dire : ils ne se posent pas vraiment de question sur lui, à part le considérer comme un homme béni par Dieu. Ce qui est certain cependant, c'est que DeWitt est un homme puissant. Il a toute une population endoctrinée et toute une armée organisée à son sein, et n'est prêt à accorder aucune grâce à rien, ni personne.

    La population de Cannery, la deuxième partie de Rapture, vous dira qu'il est un être surnaturel et mystérieux, mais dont les intentions et valeurs morales sont loin d'être ambiguës. Il n'apparaît qu'aux personnes susceptible de susciter son intérêt, et refuse très souvent les visites, excepté lors d'affaires importantes par rapport avec sa société. Car oui, le dirigeant de la compagnie Spacer's Choice n'est nul autre que le Meriff de la ville lui-même. En collaboration avec La Citadelle d'Osiris et quasi-fondateur d'Edgewater, il se fiche en réalité pas mal du sort de ces deux villes ; son seul intérêt est d'en tirer des ressources, comme le cristal d'Eden par exemple, ainsi que la magie et technologie nécessaire pour faire voler sa ville indéfiniment. Mais il n'encourage bien-sûr aucun de ses habitants à descendre sur Osiris, ce serait contre productif à la propagande qu'il a si bien montée depuis tant d'années dans son paradis artificiel.

    Quelques gens ignorants et bien naïfs s'imaginent, d'ailleurs, qu'il ne sort jamais de la mairie par crainte, car il serait trop faible physiquement pour se défendre en cas de besoin.

    « Mais ces gens sont des énormes crétins ! »
    — John Fraden

    DeWitt a toujours été en quête de pouvoir. De puissance absolue. Malheureusement, il faisait parti des 5% sans pouvoirs. Apparemment. Car DeWitt prétend avoir trouver un moyen de donner de la magie à tout le monde. Les atouts. Des potions apparemment censées donner des pouvoirs à tout consommateur. Potions temporaires, bien-sûr. Mais pas pour DeWitt. S'utilisant lui-même comme premier sujet d'expérience, sa réussite fut telle qu'il ne put s'empêcher d'en abuser encore et encore. Toujours plus de pouvoirs, toujours plus de puissance. Après un taux de vente ayant explosé suite à la commercialisation d'atouts, DeWitt faisait de plus en plus d'expériences, dans le but d'en créer des non-temporaires. Et le pire, c'est qu'il réussit, en plus d'éviter les complications naturelles de surdose d'atouts. Ses pouvoirs semblent sans limite, le rendant totalement imprévisible et absolument effrayant. Il semble beaucoup utiliser son pouvoir de téléportation et de multi-clonage, histoire de rester quasiment intouchable.

    DeWitt se moque éperdument de sa population, qu'elle fasse partie de Cannery ou Columbia. Il considère les personnes lui étant dévouées comme "dérangées" et ne leur accorde aucune faveur pour leur vénération. Ceux qui parvienne à piquer sa curiosité reçoivent fréquemment son attention, en revanche. Au fond, il est un être presque neutre, et ne joue qu'au spectateur froid et objectif, simplement en recherche d'un spectacle divertissant.

    « Je n'ai jamais dit que j'étais un Dieu. »


    votre commentaire
  • Juniper Naexidor

      
    NOM:
     Naexidor
       
    PRéNOM:
     Juniper
        
    AGE:
     24 ans
       
    SEXE:
     Féminin
      
     

     

    POUVOIR / ESPÈCE :

    Juniper est une elfe, et a le pouvoir de contrôler l'élément de l'eau - seulement sous sa forme liquide. Elle peut en faire des formes, la faire bouger ou l'immobiliser, et sait s'en servir pour se défendre contre une quelconque attaque envers sa personne.

    Orientation sexuelle/AMOUREUSE :

    Hétérosexuelle

    Caractère :

    Juniper est une jeune femme extravertie qui aime plaire. En général pleine d'énergie, elle n'a aucun mal à aller vers les autres. Elle est agréable, polie et bien élevée, et n'a pas non plus peur d'utiliser son charme pour se rendre toujours plus sympathique. Elle a souvent tendance à flirter avec des hommes de son âge ou un peu plus vieux - mais pas trop vieux non plus, n'abusons pas. Elle adore avoir de la compagnie, être entourée de personnes agréables, et n'est jamais mécontente de rencontrer de nouvelles personnes. Elle est également très honnête, elle n'a aucun mal à dire la vérité aux autres ; elle n'a pas un mauvais fond, loin de là. Quand quelque chose ou quelqu'un lui plaît, elle le dit. Elle exprime aussi toujours ses intentions très clairement, n'ayant pas peur des réactions extérieures. Elle n'est pas non plus bagarreuse, mais sait se défendre en cas de besoin. Elle est toujours confiante, ce qui lui donne une sorte de prestance, et est également assez indépendante et fière ; elle tient d'ailleurs grandement à son indépendance. Juniper est une femme intelligente et réfléchie, qui travaille dur et attend de ses efforts qu'ils soient reconnus à leur juste valeur ; pour autant, elle n'est pas spécialement imbue d'elle-même, et n'est pas du genre à se vanter pour tout et n'importe quoi. Elle est assez émotive, même si elle préfère ne pas le montrer - par fierté, vous vous en douterez.

    Histoire :

    Juniper descend d'une famille de pêcheurs égyptiens, et ses parents ont emménagé à Heaven Lake à la naissance de son grand frère, il y a presque 30 ans maintenant. La jeune femme n'a ainsi jamais eu la chance de connaître ses ancêtres, ou encore ses oncles, tantes, cousins ou cousines : depuis toujours, sa famille s'est simplement composée d'elle, de son père, de sa mère et de son frère. Si ça pouvait être pour certains une chance, de grandir dans un environnement familial aussi, en quelques sortes "complet", mais ça s'est très vite révélé être étouffant pour Juniper. Très jeune, elle était déjà relativement indépendante, voulant souvent s'amuser sans que son frère ne soit sur son dos à la surveiller, n'acceptant que très rarement l'aide des autres et voulant tout apprendre d'elle-même et non pas de quelqu'un, ne supportant pas l'idée de devoir quelque chose à quelqu'un.

    Ce comportement se voyait chez les Naexidor, mais aussi à l'école, où la jeune fille semblait aux yeux de tous ses enseignants s'ennuyer et ne rien faire en classe, alors pourtant qu'elle accumulait les bonnes notes et était toujours dans les premiers - si ce n'était la première - de la classe. En effet, elle comprenait vite et faisait la majorité du travail chez elle, seule. Mais son sérieux ne la rendait pas antipathique pour autant : dans la cour de récréation, elle était très appréciée et avait tout plein d'amis, parce qu'elle était gentille, assez drôle, et qu'elle ne se ventait pas de ses bonnes notes - elle n'était pas de ceux qui "se la pétaient" parce qu'ils étaient bons à l'école. Arrivée au collège et au lycée, Juniper était toujours aussi entourée, et jamais on ne la voyait arpenter seule les couloirs de ses établissements scolaires. Elle était populaire, aussi - et il faut avouer que son visage et son physique ont aidé -, mais pas de ces filles populaires qu'on n'ose pas approcher parce que, même si parfois d'une grande gentillesse, elles intimident énormément aux premiers abords ; Juniper était populaire parce qu'elle était jolie, intelligente, et qu'on sentait qu'on pouvait l'approcher peu importe qui on était et quelle réputation nous suivait.

    Pourtant, c'est dans ses années collèges que Juniper avait commencé à s'éloigner de sa famille. C'était assez étrange pour ces derniers, et surtout pour son grand frère qui fréquentait souvent les mêmes établissements qu'elle : elle voulait être seule, laissée tranquille à la maison, semblant parfois ennuyée ou soulée avec eux, pourtant en cours, elle semblait briller, comme un Soleil entourée de ses étoiles et planètes. Ce qui déplaisait à la jeune femme, ce n'était pas la compagnie de sa famille ou ses membres en général - au contraire, elle les adorait -, c'était le fait qu'ils étaient trop là. Tout le temps sur son dos, à vouloir savoir ce qu'elle faisait, s'ils pouvaient l'aider, le faire avec elle, ou encore à la protéger en lui interdisant parfois de faire ce qu'elle aurait aimé faire sous prétexte que c'était "trop dangereux" pour elle. Cette omniprésence familiale étouffait presque Juniper, qui ne retrouvait pas cette omniprésence ou cette surprotection chez ses amis. En effet, elle semblait ne jamais être avec les mêmes personnes. Elle adorait être entourée, c'était plaisant et presque comme une récompense de son bon comportement avec les autres.

    Mais la jeune femme avait toujours besoin de nouveauté et, assez tôt, Heaven Lake se retrouva bien trop petite pour Juniper. Elle qui commençait à trop bien en connaître les endroits et habitants, elle voulait plus. Et quoi de mieux pour assouvir cette soif de grandeur et de nouveauté que l'espace, tout simplement ? C'est ainsi que, comme les autres habitants d'Hermès, la jeune femme avait migré, lassée de la Terre, pour s'installer sur Osiris, laissant derrière elle sa famille avec une simple lettre leur expliquant qu'elle était partie, car elle ne savait pas si elle saurait trouver la force de partir si elle devait leur dire au revoir en face-à-face. Parfois, lorsqu'elle est sûre ou persuadée d'être seule, il arrive qu'elle se pose quelque part et qu'elle contemple simplement le ciel, pensant à tous ceux qu'elle a laissé derrière elle sur Terre. Et, dans ces moments, il arrive qu'elle lâche une petite larme, elle qui était plus sensible qu'elle ne le laissait partir. Mais ces moments - qu'elle nommerait des instants de faiblesse - sont généralement assez courts, le temps d'une cigarette, et la Juniper indépendante et détachée de tout qu'on connaît sur Osiris est de retour.

    Armes :

    Juniper ne se balade jamais sans un petit revolver de poche dans sa poche droite, et ses munitions avec ses clopes dans la poche gauche.

    familier :

    Juniper est toujours accompagnée d'une petite créature d'environ la taille de sa tête et qui pourrait s'apparenter à une sirène, dont le corps est tout noir et parsemé d'un rouge orangé. Ses grands yeux sont d'un dégradé, allant de ce fameux rouge jusqu'au jaune, et il tient un petit bâton. D'apparence, il est assez mignon, en somme. De plus, la petite créature complète en quelques sortes sa maîtresse : il utilise l'élément du feu, et peut lancer de son bâton de petites boules de feu.

    Anecdotes :

    Origine: Égyptienne
    Voix: Miss Fortune (Hélène Bizot)
    Habitation(s): Moonybia / Stonesard

       > Les parents de la jeune femme sont originaires d'Egypte, mais elle n'y est jamais allée.
       > Son style d'homme ? Ceux qui sont plus âgés qu'elle.
       > Juniper fume, mais seulement de temps à autres. Parfois simplement quand elle
       s'ennuie, d'autres fois quand beaucoup de choses arrivent à la fois et qu'elle a besoin de
       se détendre, par exemple.
       > Elle apprécie peu les personnes trop… "collantes" ou surprotectrices.
       > Elle est très mauvaise perdante.

          ___________________________
     
    CRÉATEUR — kakyoin

    FICHE DE PERSONNAGES — Chrona, modifications de Donnie.

    IMAGES:


    votre commentaire
  • Jeremy Meeks “Scooter”

      
    NOM:
     Meeks
       
    PRéNOM:
     Jeremy
        
    âGE:
     23 ans
       
    SEXE:
     Masculin
      
     

    Following the footsteps of a rag doll dance
    We are entranced

    POUVOIR / ESPÈCE :

    Jeremy, ou “Scooter”, pourrait presque rivaliser à une course avec Max Wilson. Non, sans déconner, ils courent vachement vite ces deux salopards. Mais Max sera toujours plus rapide. Mais Scooter ne s'en plein pas, sa super vitesse lui a sauvé la vie à de nombreuses reprises. D'ailleurs, ce pouvoir lui vient d'ailleurs probablement d'une trop grande consommation d'atouts. Même pas volontaire, d'ailleurs. Mais ce n'est pas pour lui déplaire, au contraire.

    Mais ce n'est pas toutes ses caractéristiques ; Scooter a presque le même atout que son collègue Dempsey, la quasi-immortalité. Scooter peut encaisser un nombre incalculable de dégâts, suffisamment graves qui plus est, et pourtant rester debout pendant un long moment. Il a déjà été fusillé pendant 60 secondes, et n'est jamais tombé. Il reçu 30 coups de couteau dans l'épaule, et n'a pas broncher. Personne ne sait d'ailleurs si Scooter pourrait souffrir d'une légère analgésie congénitale. En tout cas, il a une résistance physique extrêmement développée.

    Orientation sexuelle/AMOUREUSE :

    puceau c'est même pas vrai d'abord

    Caractère :

    Vous voyez le cliché du nerd dans les films des années 90 ? Le gars légèrement spasmodique, imbattable en physique et mathématiques, qui parle que de films et d'informatique sans que personne ne comprenne un mot de ce qu'il braille ? Eh bah Scooter, c'est ce nerd. Sauf que lui, il est populaire.

    Les idées et pensées de Jeremy viennent souvent de films qu’il a regardés et en tire des conclusions sur ce qu’il a déjà vu. Il a mémorisé tous les clichés des films, peu importe leur genre, et les utilise comme guide. Bien que Jeremy accorde beaucoup d’attention à ces normes, il aime quand les choses ne sont pas prévisibles. Il valorise la nouveauté et l’innovation, et a donc tendance à beaucoup retenir les personnes assez originales qu'il rencontre. Mais il est également doué pour tirer des conclusions logiques ; il y a une formule simple. Jeremy pense à tout et prend très au sérieux son système de comparaisons cinématographique, même si d'autres s'en moquent ouvertement. Il a également une très bonne mémoire quand il s’agit de cinéma et peut réciter de nombreuses citations mot à mot. Bien qu'il peut parfois être un peu inconscient par rapport aux sentiments des autres, Jeremy est très doué pour percer les gens à jour et démontre souvent une bonne compréhension de leur "être".

    Par ailleurs, Jeremy possède un côté très effrayant de côté-là. Arrivant autant à percer les gens à jour, il peut connaître leurs secrets seulement par de simples déductions et donne l'impression qu'il les stalke. Il semble avoir des tendances limites psychopathes, voire une double personnalité démente et déséquilibrée, et quelques personnes vous assureront que “Scooter n'est pas ce qu'il semble être.” Certaines personnes prennent donc leur distance avec lui, et bien qu'il n'a jamais tué personne (l'armée, ça compte pas), les avertissements semblent parfois assez crédibles.

    Mais il n'y a pas que le cinéma, dans la vie de Jeremy. Il y a les jeux vidéos aussi, les bouquins, INTERNET… L’esprit de Jeremy est extrêmement dispersé et ne vit quasiment que par la spéculation constante, reliant des œuvres d’art fictives à des circonstances de la vie réelle sous de nombreux angles et de théories. Aucune explication n’est trop exagérée pour lui. Jeremy semble même presque « ravi » lorsque ses théories sont réalisées, aussi catastrophiques soit elles. Mais c’est seulement parce que cela stimule son esprit alors qu’il se démène pour connaître la suite. En dépit d’être un garçon névrosé, les gens prennent progressivement sa perspicacité au sérieux car il sait de quoi il parle la plupart du temps.

    Il est évident qu’il a énormément de respect et de passion pour les slashers et films d'horreurs classiques. Non seulement il les connaît par cœur, mais il les a analysées de fond en comble. Malheureusement, comme avec toutes les autres œuvres de fictions, il semble toutefois s’y fier un peu trop et se rend compte que, dans un scénario aussi véritable que la vie quotidienne, il n’a pas toutes les réponses.

    Histoire :

    Né dans un vieux quartier de Chicago, Jeremy fut depuis très jeune habitué à la criminalité à outrance. Ayant quasiment toujours vécu avec des parents séparés, il alternait les gardes toutes les semaines, ses deux parents étant dans la même ville. Mais le problème, c'était son père, Jimbo. Il faisait parti d'un des nombreux gang de Chicago, les « Dunk », mais le sien était… particulier ? C'était une sorte de mixte entre une bande de punk et de vieux campagnards, tous plus débiles les uns que les autres. Il avaient limite plus de soucis entre eux qu'ils n'en avait avec le FBI. C'était d'ailleurs la raison de pourquoi sa mère s'était séparée de lui. Au fil du temps, elle avait de moins en moins l'envie de refiler son môme à Jimbo, même pour une semaine, d'autant plus que celui-ci faisait participer son fils aux braquages de banque. Combiné à ça les remarques qu'elles se prenait dans la rue ou par lettres qui la traitait de tous les noms car elle avait une vie sexuelle EXTRÊMEMENT active, elle décida donc de déménager du jour au lendemain dans un endroit où personne ne la trouverait jamais, la ville natale de ses parents ; Heaven Lake.

    Jeremy était très jeune, et n'a donc que très peu de souvenirs de Chicago, ainsi que de son père. Dans le quartier, Jeremy était ce petit gamin teigneux qui ne s'attirait que des ennuis, ayant formé un petit gang de crapules qui se réunissait tous les soirs à la décharge en faisant des teufs à n'en plus finir. Et ça continue presque encore aujourd'hui d'ailleurs, bien qu'il se sépara petit à petit de ce groupe dû à ses études, tandis que celui-ci gagnait de plus en plus de membres, et devenant de plus en plus pacifiste. Mais ses années à traîner dans des voitures cassée et crasseuses lui développèrent des réelles compétences en mécanique, ça c'est sûr.

    Au lycée, Jeremy était un mixte de plusieurs stéréotypes d'élèves : Tout d'abord, le sportif. Il enchaînait les matchs de baseball, et c'était d'ailleurs grâce à lui qu'il y en avait de plus en plus. Une médaille d'une de ses victoires est d'ailleurs affichée dans l'académie. Ensuite, le putain de geek. Celui qui sèche les cours pour rester au CDI à coder, monter ou composer de la musique. …Ou jouer à Half Life pendant des heures. Ensuite, le nerd à lunettes sans lunettes. Celui qui trouve les solutions de mathématique plus rapidement que les autres, inventant ses propres calculs et connaissant par cœur le tableau périodique. Et pour finir, le petit voyou. Celui qui va taper les gens qui lui plaisent pas. Qu'ils soient costauds ou pas, d'ailleurs. Ça l'embêtait pas de se faire taper dessus, vu sa résistance physique. Et c'est toujours le cas, d'ailleurs. Ah oui, c'était aussi le cliché du beau gosse qui avait toutes les filles à ses pieds, bien que son gros côté geek ressortant plus que tous les autres avait tendance à lui donner une réputation de gros looser ou de ringard.

    En sortant du lycée, Jeremy n'a jamais réellement su ce qu'il voulait faire de sa vie. Son rêve d'être mécanicien ou garagiste était certes très présent, mais il n'arrivait jamais à réellement se convaincre pour des raisons inconnues, comme si le destin lui-même l'en empêchait. Mais un beau jour, il réfléchit intensément sur ses capacités physiques extrêmement pratiques. Il en est donc venu à la conclusion que ce serait "cool" de s'en servir pour "faire le bien", pour aider les autres, pour contribuer à l'ordre. Et que devenir militaire, c'était vachement la classe en plus. Et puis du temps qu'il pouvait tirer sur des trucs, ça l'arrangeait. Oh certes, sa seule vision de l'armée était tirée des FPS tels que Call of Duty ou GoldenEye, mais la réalité ne l'a pas ennuyé non plus. N'étant appelé que pour des opérations particulièrement importantes et risquées, Jeremy a pas mal de temps libre contrairement à ses collègues.

    Ce qui au final fait de Scooter un jeune garçon nerd vivant au jour le jour, faisant en sorte qu'aucune de ses journées ne soit gâchée par quoi que ce soit. Ne pas connaître ou savoir quelque chose le démange amèrement, et ne demande qu'à s'instruire à chaque fois qu'il en a le temps, remplissant sa tête de culture en tout genre. Il tente toujours de rester optimiste et énergique, non pas pour les autres mais avant tout pour lui-même.

    Armes :

    Au service militaire, Scooter est un adepte du Remington model 870 et du SIG Sauer P320. Cependant, lorsqu'il se balade en ville, il emporte constamment sa batte de baseball avec lui.

    Cependant, lorsqu'il va sur Hermès, il emporte un étrange pistolet en plus. …Qu'il a acheté sur Osiris, à La Citadelle, bien-sûr. C'est pas qu'il veut enrichir John, mais ses industries construisent de très beaux flingues. …Et surtout que celui-ci lui a quasiment forcer.

      

    Anecdotes :

    Origine: Américain
    Voix: Donald Reignoux

    – Scooter, bien que militaire, reviens parfois à l'académie pour y donner des cours de sport, mais surtout de baseball. Il trouve ça totalement déprimant qu'il soit le seul à faire en sorte que ce sport tienne, car sans lui, c'est la course que les gens préfèrent. Déterminé, encourageant et malin, Scooter est un excellent prof de sport de ce côté-là. Peut-être un des meilleurs de l'académie, d'ailleurs…

    – Même s'il est prof de sport, Scooter ne traîne quasiment jamais avec les profs, sauf lors des réunions très importantes, et quand il peut y participer aussi. Mais c'est le genre de prof qui n'a jamais grandit, et qui est toujours un peu jeune aussi. Il ne traîne qu'avec les élèves et ceux-ci le prenne d'ailleurs pour un camarade comme un autre, sans réelle figure d'autorité, à leur égal en fait. Et ça convient bien à Scooter d'ailleurs, ce garçon n'aime pas se sentir d'un grade supérieur. …Supérieur intellectuellement, ça par contre, il adore.

    – Scooter n'apprécie pas beaucoup de se faire appeler par son prénom, Jeremy. Les seules personnes qu'il ne réprimande pas en le faisant sont des personnes qu'il considère entre autre comme "supérieures" à lui, comme les Senshi par exemple. D'ailleurs, ce pseudo, Scooter. Son origine est simple : Quand il était plus jeune, son plus grand rêve était de devenir constructeur de bagnoles, ou carrément garagiste. Mais il mit un long moment avant de se décider. Un très très long moment. Entre temps, il s'était déjà enrôlé dans l'armée, et le jour où il se décida enfin, il réalisa que quelqu'un d'autre avait déjà ouvert un garage en ville. Qu'est-ce qu'il était dégoûté, putain. Mais son pseudo s'est gardé néanmoins.

    – Lui et John Fraden entretiennent une relation particulière. John perçoit Scooter comme un sale gosse, mais il ne peut s'empêcher de l'apprécier. Au fil du temps, il finit même par le considérer comme son fils adoptif. Il n'est certes pas la meilleure des personnes mais n'ayant presque jamais connu son père, cette relation ne déplaît pas à Scooter. …Même si ça peut paraître glauque à certains, étant donné son béguin pour Jane. …Et que John se tape la mère de Scooter très régulièrement, qu'il est au courant mais reste dans le déni. Oui, leur relation est plus ésotérique qu'adorable.

    – Dans beaucoup de films avec des nerds, ils se trouvent souvent accompagnés d'un homme qui leur est diamétralement opposé. Un gros dur grossier sans aucun sang froid qui préfère agir plutôt que de réfléchir. À l'armée, c'est son collègue Dempsey qui remplit ce rôle. Mais au quotidien, ce n'est nul autre que ce gredin de Clayton. Personne n'arrive à comprendre comment ces deux-là arrivent à se piffrer, mais ils semblent néanmoins entretenir une relation assez complice, étrangement. Ne posez pas la question à Scooter, il ne sait pas non plus.

    – Scooter est un faiseur de YTP. Vous voyez EnfluredeRenard sur YouTube ? Bah c'est lui. Depuis le début. Bah ouais, à passer des semaines sur l'ordinateur, ça la transformé en Dieu du montage.

    – Quand il parle de films, vous êtes foutus. Il en a pour des heures, sauf si vous lui faites comprendre que vous n'en avez rien à foutre. Malgré tout, il est très intéressant à écouter. Il a des avis assez "divergents", pertinents et réfléchis sur beaucoup de films et possède une vraie analyse critique intelligente. Parfois même un peu trop ; il serait prêt à vous parler des défauts et des qualités d'un nanar de manière extrêmement sérieuse.

    – Il est probablement le seul à croire les histoires d'Elliot sur ses aventures galactiques. Les deux partagent d'ailleurs leur amour pour la musique électronique et les vocaloid, bien que Scooter est plus fan de dubstep. D'ailleurs, il ADORE Marshmello. Il le considère comme un modèle, putain.

    – On a tous un type de gars ou de fille. Et lui, il a tendance à beaucoup fantasmer sur les teigneuses grossières un peu garçon manqué. …Un peu beaucoup, même. Il a probablement plus de crush que de filles à ses pieds.

    – Au fond, Scooter est un petit garçon sensible. Dans le sens où il chiale BEAUCOUP devant certains films. Il refuse même d'en revoir quelques uns, comme La Ligne Verte, prétextant ne pas vouloir pleurer pendant des heures et déprimer toute une soirée.

    – Scooter a déjà fait de la garde à vue pour une de ses fameuse comparaison à la con. Il avait croisé une passante portant un blouson, et lui avait dit, je cite : « Fais gaffe à toi, si un type te demande de retirer ton blouson parce que c'est important pour lui, fais-le parce qu'il pourrait te tuer. » celle-ci prenant cette remarque pour une menace, il fut arrêté par la police, d'autant plus que ceux-ci n'étaient pas convaincus par les explications données par le geek.

    – Scooter a BEAUCOUP redoubler de classes. Mais ça, on s'en doutait un peu, non ?

    – Que fait un geek tout seul dans sa chambre quand il a beaucoup trop de temps libre ? ………………………………Vous êtes dégueulasses. Non. Il fait de la guitare électrique, évidemment. Il a commencé par s'entraîner sur cette musique, puis a finit par la jouer en concert à l'académie. C'est ça l'acharnement motivé par la détermination.

    Relations :

    Kent Dempsey → Collègue-pote

    Elliot → Supers amis

    Hunter Carrera ¦ Jane Fraden → Béguin

    John Fraden → Père de substitution

    Dutch "Deadbeat" Clayton → Duo / Le sale gros cinglé

          ___________________________
     
    CRÉATEUR — Donnie.

    FICHE DE PERSONNAGES — Chrona, modifications de Donnie.

    IMAGES:

     


    votre commentaire
  • Valioth Ulovayn

    Autrefois grand sorcier et scientifique, le professeur Ulovayn n'était certes pas particulièrement célèbre, mais compétent, ça oui. Par contre, il était célèbre pour être très égocentrique et méprisant. Non pas qu'il rabaissait les autres, mais il estimait parfaitement normal qu'il soit une "race supérieure". À lui tout seul, bien-sûr. On ne manque jamais de narcissiques, à Hermès.

    On ne sait pas vraiment quel âge il avait ni de quelle race il faisait partie exactement, les gens soupçonnant qu'il était une sorte d'elfe à cause de ses oreilles pointues, mais ce ne fut jamais confirmé. Les gens n'en savaient pas beaucoup sur sa vie également, son être se résumant qu'à un très puissant sorcier scientifique obsédé par ses inventions, en plus d'être la cause du Miroitement.

    Depuis l'accident de l'Exobiology Innovation dont il fut responsable, il disparu totalement de la surface d'Osiris. Plus personne n'a de traces de lui, et les gens pensent qu'il s'est juste littéralement volatilisé. Mais les Gardens ont de ses nouvelles.


    votre commentaire
  • Dutch "Deadbeat" Clayton

      
    NOM:
     Clayton
       
    PRéNOM:
     Dutch
        
    âGE:
     47 ans
       
    SEXE:
     Masculin
      
     

    I am the gunman ⋅ I bring salvation on this day
    Here comes the gunman
    You'll know that vengeance is my name

    POUVOIR / ESPÈCE :

    Mort vivant. Oui, carrément. Dutch est un zombie un peu spécial. Il peut switcher d'état absolument à volonté, voire même mixer deux états. Malgré tout, si sa partie humaine vient à se faire très sérieusement endommagée jusqu'à la mort, sa forme de mort-vivant revient.

    Mais globalement, Clayton est incapable de mourir. Même démembré, il peut reboiter ses membres très facilement comme s'il était un Lego. Et si ses membres détachés sont détruits, il lui suffit de se transformer/détransformer pour qu'ils réapparaissent comme par magie. La seule chose qui peut le tuer est de détruire son cerveau.

    Orientation sexuelle/AMOUREUSE :

    Hétéro

    – cependant trop intéressé par l'argent pour avoir connu une relation amoureuse dans sa vie

    Caractère :

    Il serait parfaitement légitime que Dutch vous foute les jetons rien que par son existence, mais Clayton n'est en réalité pas bien méchant. Il est relativement calme et, bien qu'il parle mal, n'est pas agressif gratuitement. Ça ne fait pas de lui un grand tendre non plus, faut pas déconner. Clayton est le parfait archétype du chasseur de prime de western. Il peut sembler un peu ringard, certes, mais il ne faut pas lui en vouloir ; il est né comme ça. On raconte même que sa mère lui donnait des cigares à la place des tétines, celles-ci n'existant pas à sa naissance d'ailleurs.

    Bien que "paisible", Clayton est un homme très antipathique, assez intolérant et pas mal individualiste. On peut peut-être le voir aider des gens de temps en temps, mais semble toujours garder en tête son propre intérêt. Dutch n'est fidèle qu'à lui-même et vit principalement comme une ermite. En réalité, Clayton veut que le monde ne change pas et reste au même stade qu'il l'a connu. Un monde comme celui où les hommes vivaient dans l'Ouest sauvage. Il voit le XXIe siècle comme le mal, car il n'y a plus aucune liberté. Clayton a énormément de mal a s'adapter à l'époque actuelle et pars très souvent d'Heaven Lake pour vagabonder au Texas, au Mexique ou dans l'Oklahoma, en mémoire de paysages familiers.

    Froid, sarcastique, méprisant, vulgaire et absolument terrifiant, la plupart des gens préfèrent ne pas l'approcher, et ça lui va parfaitement bien, d'ailleurs.

    Histoire :

    Fils d'une prostituée travaillant dans un cabaret dans l'Oklahoma en 1843, Dutch n'eut pas vraiment une éducation des plus saine. Sa mère autrefois douce et pure devint très vite nihiliste au possible, et totalement corrompue par sa vie quotidienne et ses connaissances plus que toxiques et douteuses. Elle avait essayé, pourtant. N'arrivant à élever son très jeune fils, elle pensa d'abord le léguer à son oncle, mais celui-ci mourut quelque temps après que cette idée lui venue. Obligé d'élever son enfant, elle finit par penser que Dieu la punissait, l'amenant à détester puis à délaisser son fils.

    À ses 12 ans, Dutch faisait déjà parti d'un gang local, gang qui effectuait de nombreux hold-up dans les banques ou encore piller des trains. Ce qui intéressait le gang, c'était de s'amuser avant-tout. Mais ce qui intéressait Dutch, c'était l'argent. Les montagnes de blés qu'il pouvait se faire en une seule opération. Il savait déjà ce qu'il allait faire de sa vie.

    Pendant toute la guerre de sécession, Clayton n'avait qu'une chose en tête : l'argent. Se faire BEAUCOUP d'argent. Mais ça paye pas trop d'être shérif, apparemment. Ni d'être un confédéré. Enfin, moins qu'un bandit. Moins qu'un mercenaire. Toutes les méthodes étaient bonnes pour ramasser de l'oseille, et franchement, que la méthode soit cruelle ou non lui importait peu. Au final, c'est lui qui en ressortirait vainqueur. De plus, sa mère avait besoin d'argent, donc une pierre deux coups. Ça ne fait pas de lui un monstre, si ?

    Quelle ne fut sa rage quand il apprit d'ailleurs que sa très chère mère fut assassinée par des bandits en quête d'énormément d'argent. Apparemment Dutch avait été trop généreux et ça s'était su. Si cet argent ne pouvait plus appartenir à sa mère, alors il n'y a qu'une seule personne qui pouvait l'avoir, et c'était eux. Sur son cheval, à toute allure, il se dirigea vers le camp des bandits qui était visiblement un vieux casino abandonné. Enfin, « abandonné », pour ne pas dire prit par la force. Armé de ses deux revolvers et de son fusil à baïonnette de sa propre invention, il entreprit son objectif de massacrer tous les bandits, un à un, de façon particulièrement gore et douloureuse. À un contre une cinquantaine. Un peu idéaliste, certes. Mais s'il ne pouvait pas y arriver de son vivant, ce n'est certainement pas la mort qui allait l'arrêter. Criblé de balles et amputé de son bras gauche, Clayton fut laissé pour mort, son cadavre pourrissant au soleil du soir tombant et se faisait mangé par les vautours. Les bandits finirent par enterrer ce qu'il restait,

    Mais c'est alors que le même soir, pendant la pleine lune, une main sortit de terre. Emplit de rage et les yeux rayonnant autant que les étoiles, le cadavre qui venait de se réanimer ramassa une pioche qu'il trouva sur son passage. Débarquant dans les chambrettes, il planta tous les bandits à coup multiples, d'abord dans les genoux, ensuite dans les paumes des mains, puis dans les chevilles, puis dans les yeux. Dans cet ordre précis.

    29 décembre 1890, Dutch Clayton est déclaré comme décédé. Mais une vieille légende rôde dans l'état, racontant que son fantôme ère encore à travers les plaines, chevauchant un cheval noir et vous perçant du regard avec ses yeux blancs. Il paraît qu'au beau matin, on retrouve des corps humains fraichement dévorés à des endroits où son fantôme fut aperçu. Et oui, ce n'était pas la fin pour Clayton. Certainement pas. Avec des nouvelles aptitudes et une nouvelle gastronomie bien ragoutante, il était décidé à les utiliser avec talent, et efficacité. Sans se poser une seule question sur sa nouvelle condition. Mais après-tout, pourquoi réfléchir quand on peut faire profit facilement à la place ?

    I tried. At the end, I did.

    Armes :

    Son fusil à baïonnette construit et personnalisé par ses propres soins.


     

    Il possède également deux revolver, eux aussi personnalisés par ses soins.

    Anecdotes :

    Origine: Américain
    Voix: Arthur Morgan (Roger Clark)
    Habitation(s): La Citadelle

     Dutch et les surnoms, c'est une chose. Il était à l'époque surnommé Deadbeat, étant vu par la plupart des gens comme une vermine. Même si ce surnom perdit sa connotation, il resta quand même collé à lui. Deadbeat, l'enfoiré rapiat que tout le monde connaît. Mais à Heaven Lake, on le connait sous un autre nom. Et ce nom c'est Mr. Scrooge.

     Lui et John partage tout deux les même yeux vairons. Enfin, dans sa forme humaine.

     Notre bon vieux Dutch a déjà goûté de la chair humaine, à maintes et maintes reprises. Il déclare d'ailleurs qu'il n'a jamais goûté de meilleur de toute sa vie. Étrangement, il évite d'en manger depuis qu'il a un emploi stable. Ce n'est apparemment pas très bien vu, le cannibalisme. Cracher par terre non plus, remarque.

     À Heaven Lake, il y a des addict aux cafés, des addict à la bière, à la drogue, ou aux collections de dédicaces de Max Wilson. Mais Clayton, son addiction, c'est le cigare. En fait, il en a toujours un à la bouche. Le même depuis des années. Quand il tire dessus, la partie cramée reste au même point, en faisant un cigare éternel et vieux depuis des siècles. Au bout d'un moment, il a même essayé d'étouffer quelqu'un dans une pile de cendre chez lui. Et ça marche !

     L'état humain de Dutch ne lui manque pas, et même s'il aurait été bloqué dans ce corps de mort vivant, ça lui aurait été totalement égal. Il préfère d'ailleurs celui-là à l'original, le jugeant beaucoup plus classe et appréciant grandement la frayeur dans les yeux des gens.

     Bien que simple jardinier à l'académie, Clayton peut enfin vivre son rêve quand il va sur Hermès. Peut-être un peu trop futuriste et technologique à son goût, mais la liberté qui y est offerte sur un plateau d'argent et les environnements à explorer le comble d'une excitation immense. Il est d'ailleurs banquier à La Citadelle.

     Le samedi soir, lui et John font toujours une soirée western. Voir des paysages et une époque qui lui manque autant le comble parfois de larmes, le laissant se faire appeler par son acolyte « petit fragile de bas-étages. » Clayton c'est le genre de gars à lancer des « Nan mais toute façon c'était mieux avant. »

    Relations :

    John Fraden → Ami / Employeur

    Mei Juéwàng → Patronne

    Jeremy Meeks “Scooter” → Duo / Le p'tit nerd

    Aveline “Anamaria” Turner → Vieille connaissance / Complices

          ___________________________
     
    CRÉATEUR — Donnie.

    FICHE DE PERSONNAGES — Chrona, modifications de Donnie.

    IMAGES:

    IMAGES TRANSFORMÉ:


    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique